Faire un enfant sur le tard rime souvent avec fatigue et risques médicaux…

Et pourtant, la maternité tardive est loin de se résumer à cela ! Voici 5 bonnes raisons de faire un bébé à 40 ans.   

La maturité, un vrai plus !

Vieillir n’est pas seulement synonyme de rides et de cheveux blanc :-). L’âge confère aussi plus de recul, de réflexion, un nouveau regard sur le monde…  Bref une dose de maturité en plus ! Un atout non négligeable pour devenir ou redevenir mère comme l’explique Virginie, maman de 3 enfants.  « J’ai eu mon premier enfant à 25 ans et mon troisième à 41 ans. J’étais beaucoup moins stressée pour ma petite dernière. J’ai vécu une grossesse super zen et je suis une mère plus détendue, plus sûre de moi, et moins soumise aux diktats de la consommation qu’il y a 15 ans ».

La crise de la quarantaine version cure de jouvence

Faire un enfant sur le tard, c’est aussi conjurer le temps qui passe et faire un joli pied de nez à la fameuse « crise du milieu de vie » ! Certaines mamans tardives évoquent même une cure de jouvence. « J’ai fait mes enfants à 43 et 46 ans, explique Marie, et j’ai toujours eu le sentiment d’avoir 10 ans de moins. A 45 ans, mon quotidien était celui d’une trentenaire, qui court pour récupérer ses enfants à la crèche, passe ses mercredis après-midi au parc, achète de la puériculture… ».  

D’après certaines études, faire un bébé à 40 ans irait même jusqu’à optimiser notre longévité 🙂. De quoi rassurer les mamans quadras, soucieuses d’accompagner leurs bambins le plus longtemps possible

Confort et stabilité en bonus

A 40 ans, on a souvent gagné en stabilité financière et confort de vie. Et si les aspects matériels ne font pas tout, ils permettent d’accueillir bébé avec une certaine sérénité !

Souvent accomplie sur le plan professionnel, les mamans quadras appréhendent aussi la grossesse et la maternité avec moins de pressions et de stress. Elles se révèlent souvent plus disponibles pour leurs enfants.  » A l’arrivée de mon troisième enfant, je me suis mise en free-lance. Je travaillais beaucoup, mais j’avais la possibilité d’organiser mon temps et mes journées, je ne devais rendre de comptes à personne. Et J’ai clairement plus profité de ma petite dernière que de ma première fille. J’étais là pour ses premiers pas, ses premiers mots, je n’ai rien raté ! » explique Karine, maman de 2 enfants, à 28 et 43 ans.

Un compagnon plus investi

Qui dit maman quadra, dit souvent papa quadra (voir quinqua ;-)) ! Et là encore, c’est un atout de taille ! Certes, de façon générale, les hommes s’investissent plus dans la parentalité qu’il y a 50 ans.

Mais les champions de la paternité sont, sans conteste, les papas tardifs, comme l’explique Gilles Vaquier de Labaume, fondateur de l’atelier du futur papa.  » Au cours des séances que j’anime, j’observe que les futurs papas quarantenaires prennent plus à cœur leur rôle de père en devenir. Ils sont incontestablement plus motivés et, surtout, ils ne veulent rien rater, quitte à remettre en question leurs habitudes, pour réussir cette mission de vie à très haute responsabilité. « 

Moins de vergetures

Breaking news : à 40 ans, la peau est moins tonique et supporte mieux les variations de poids ! Alors, si la prise de poids n’est pas démesurée, il est possible d’échapper à la peau de zèbre…

Et si vous n’êtes pas encore totalement convaincues avec ce dernier argument de choc :-), on vous recommande vivement la lecture de notre article sur maturité et grossesse !