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Déroulé du podcast : désir d’enfant (1,20′), la 1ère grossesse (2′), le bébé extraordinaire (3′), le quotidien avec un enfant trisomique (20′) la création de l’association (15′), la grossesse à 39 ans (26′), la maternité tardive (32′), les conseils aux parents d’enfants trisomiques (36,30′)

A 39 ans, Rachel attend son 3eme enfant.

Une grossesse surprise et tardive qui survient quelques années après l’arrivée de son bébé extraordinaire, doté d’un chromosome d’amour en plus. Rachel revient pour nous sur la découverte de la trisomie 21 de son petit garçon et cette nouvelle aventure de maternité, qui s’inscrit dans un quotidien chargé et complexe, mais surtout rempli d’amour.  

Comment a-t-elle vécu le choc de l’annonce de la trisomie 21 de son bébé ? Quelles ont été les conséquences sur son quotidien et celui de son mari ? Pourquoi a-t-elle créé l’association « Un chromosome d’amour en plus » ? Comment vit-elle sa nouvelle grossesse à 39 ans, sachant que les risques de trisomie augmentent avec l’âge ? Comment parvient-elle à lâcher-prise et à vivre cette fin de grossesse le plus sereinement possible ?

Rachel nous raconte son parcours avec beaucoup de sagesse et d’optimisme quant à l’avenir, se focalisant sur l’essentiel : l’amour qu’elle porte à ses proches et à ses enfants.

A propos de l’association « Un chromosome d’amour en plus »

« Un chromosome d’amour en plus« , c’est une association qui souhaite changer le regard qui est porté sur la trisomie 21. Son objectif est de permettre au grand public de mieux connaître la Trisomie 21 et d’accompagner les futurs ou jeunes parents apprenant le handicap de leur enfant. ​ Mais c’est aussi un blog, qui raconte le quotidien de Rachel, de son compagnon Alexandre et de ses deux fils Nathanaël et Antonin

Les conseils de Rachel aux parents d’enfants touchés par la Trisomie 21

  • Ecoutez-vous, faîtes votre choix en conscience : si vous ne vous sentez pas capable d’élever cet enfant, n’allez pas jusqu’au terme de la grossesse.
  • Parlez et échangez sur votre ressentis et vos angoisses avec d’autres parents ou avec un professionnel.
  • Ne culpabilisez pas de déprimer, d’être en colère. Ce n’est pas votre faute si votre enfant est porteur de trisomie.
  • Gardez en tête qu’élever un enfant trisomique n’est pas insurmontable et que finalement, c’est un enfant presque comme les autres.

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